Le Bien-être au Travail, un terme nouveau pour une préoccupation pas si neuve.
Nous sommes passés de la prévention des risques psychosociaux, au bien-être au travail ; le bien-être au travail comme axe de prévention des risques sociaux et facteur de productivité en entreprise.
Ce n’est que récemment que le terme QVT émerge, celui-ci propose une définition opératoire et systémique de la qualité de vie au travail :
« Les conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail et leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci déterminent la perception de la qualité de vie au travail qui en résulte ».
La Qualité de Vie au Travail repose sur 6 aspects qui se recoupent. Ainsi se mêlent organisation, interactions sociales, perspectives d’évolution et formation, management, santé, missions et compétences… dans un maillage complexe.
En travaillant sur l’intégralité de ces facteurs, on peut améliorer les performances et l’efficacité de chacun et permettre un développement équilibré et pérenne de l’entreprise.
COMMENT J’INTERVIENS DANS LA PRÉVENTION DES RPS ?
En tant que consultante et coach en organisation, j’ai pu observer à quel point les « habitudes organisationnelles » génèrent de l’agacement, de la démotivation, de la résignation… et créent de la souffrance au travail.
Des jeux de pouvoir contre productifs et stériles s’installent sans aucune valeur ajoutée ni pour les individus ni pour l’entreprise.
Comme l’individu cristallise les dysfonctionnements du système, il y a souvent confusion entre l’individu et le système. Voilà pourquoi lorsqu’une personne quitte l’entreprise, si les causes de son départ ne sont pas traitées, il y a de fortes chances que d’autres départs se produisent.
Dans la majorité des cas les facteurs sont liés :
- à l’environnement socio-économique de l’entreprise
- aux relations de travail
- à l’organisation du travail
- à la tâche ou au contenu du travail à effectuer
- à l’environnement physique et technique
Les résultats du travail d’un salarié ne peuvent s’obtenir que grâce à une organisation efficace. Optimiser cette organisation en s’appuyant de l’activité réelle du salarié permet :
- d’agir au plus juste, de simplifier les méthodes en partant de la réalité du travail plutôt que sur le prescrit
- de reconnaître et de valoriser les compétences et l’expérience des salariés
En s’attachant à comprendre l’intelligence pratique déployée par les professionnels, on permet alors aux collectifs de mieux faire face aux contingences de leur travail.
OSEZ ALLER AU-DELA DE L’OBLIGATION
OPTIMISSION est habilitée par l’INRS et conventionnnée par la CARSAT
